Fraternité Tout Horizon  
aide à Madagascar  

Parrainages

Selon une étude réalisée par l’UNICEF, plus de 30% des enfants malgaches en âge d’aller à l’école primaire ne sont pas scolarisés. C’est pourquoi l’accès à l’éducation est une priorité de FTH.
Parrainer un enfant, c’est lui assurer un avenir meilleur.

Le parrainage que nous proposons dans l'association est un parrainage collectif. Vous ne parrainez pas un enfant en particulier, mais vous aidez, dans une école, les enfants qui en ont le plus besoin.

Par un don de seulement 20€ par mois (6,8 € après déduction fiscale) , vous devenez parrain. Votre don permet de régler « l’écolage » c’est-à-dire les frais de scolarité, ainsi que les fournitures scolaires et un repas par jour. Pour les enfants qui habitent loin de l’école, les frais d’internat sont également pris en charge.

Actuellement, nous aidons une centaine d’enfants par l’intermédiaire des parrainages dans plusieurs établissements situés à Fianarantsoa, Ambohimahasoa et Manandona. Ces établissements scolaires sont gérés par les sœurs de l'Assomption de Madagascar qui nous envoient régulièrement des nouvelles des enfants, ainsi que leurs résultats scolaires en fin d’année.

Beaucoup d’enfants ont besoin d’aide : rejoignez-nous en suivant le lien "parrainer un enfant".Ou en nous contactant par courriel à fth.mada@gmail.com

En 2021-2022, l’association a parrainé 188 enfants, de la maternelle jusqu’au lycée. Parmi ces enfants, seuls 4 ont abandonné leurs études. 12 doivent doubler : 6 parce qu’ils n’ont pas obtenu leur baccalauréat et les autres à cause d’un niveau insuffisant. Durant cette année, 172 enfants ont donc pu suivre une scolarité régulière grâce aux parrainages.

 

parrainage mars 2021

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Rentrée scolaire septembre 2020

 Comme la plupart des pays, Madagascar a connu le confinement à partir du mois de mars. L’état d’urgence est maintenant levé et la rentrée scolaire a pu avoir lieu.

Mais le confinement a laissé des traces : l’UNICEF considère que les enfants ont perdu 4 mois de scolarité contre 6 semaines dans les pays développés. Et certains enfants découragés n’ont pas repris le chemin de l’école pour cette rentrée. Pour ceux qui sont revenus, les programmes sont bien sûr modifiés pour que les enfants puissent rattraper leur retard.

Une autre conséquence du confinement est l’accroissement de la malnutrition chez les enfants. En effet, quand il n’y a pas d’école, il n’y a pas de cantine ; pour certains enfants, la cantine était la seule possibilité d’avoir un repas équilibré dans la journée. Ce problème est aggravé par la sécheresse qui règne dans le pays depuis le printemps : la famine frappe près d’un million de personnes dans le sud du pays. Notre association a donc décidé d’encourager et de soutenir financièrement les sœurs de l’Assomption pour que des cantines soient installées dans les établissements qui n’en sont pas encore pourvues.

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présentation du parrainage lors de l'Assemblée Générale

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